Un lac qui voit rouge // REPORTÉE

La rencontre a dû être reportée au 25 août 2020.

Inscription conseillée, maximum 25 personnes.
Les règles en vigueur suite à la pandémie de COVID-19 s’appliqueront : distances physiques, et si elles ne peuvent être respectées, port du masque.

On ne présente plus le lac de Sauvabelin. Gouille artificielle, il a vu patineurs·neuses et promeneurs·neuses, barques et canards. Puis, il y a peu, il a été relooké, revitalisé plus exactement. Exit la vase et les poissons exotiques, place à une végétation diversifiée et aux amphibiens locaux. Depuis maintenant deux ans, le lac revit dans toute sa biodiversité. La végétation recouvre le fond, qui auparavant était en béton, et jaillit aussi hors de l’eau. Grenouilles et crapauds se reproduisent sans être dérangés par des barques. Mais les apparences sont parfois trompeuses. Sous la surface a commencé le règne d’un poisson habituellement locataire des aquariums : le poisson rouge. À tel point qu’il en devient une menace pour les autres habitant·e·s de l’étang.
D’où vient-il ? Et pourquoi faut-il s’en préoccuper ? Zoé Daeppen, en charge du suivi du lac de Sauvabelin, au Service de l’eau de la Ville de Lausanne, vous dévoilera la face cachée du poisson rouge mais aussi tous les enjeux autour de l’entretien d’un lac cher aux Lausannois. Et pour que le lac reste tel qu’il est, vous participerez à une action écologique collective, une première à Sauvabelin !

Pinte du lac de Sauvabelin