Mais où sont-ils passés, tous les papillons et les abeilles de notre enfance ? Alors que les espaces naturels se réduisent souvent comme peau de chagrin au cœur des villes, il existe quelques havres de paix perchés pour la biodiversité ; les toitures végétalisées – la plupart du temps invisibles aux yeux des citadins – constituent des habitats de substitution pour un grand nombre d’espèces. Vincent Sonnay, biologiste, vous propose de découvrir l’une d’entre elles et de souligner son intérêt pour la biodiversité urbaine avec un accent particulier sur les pollinisateurs.

Pour référencer
Bureau de biologistes n+p